le jeudi 20 mai 2021
Une équipe de chercheurs franco-américaine de l’Université de Stanford (Californie) vient de publier une étude qui permet d’identifier, par modélisation mathématique, une signature biologique (modifications des taux d’hormones stéroïdiennes circulantes, des facteurs de croissance et des voies de signalisation immunitaire) permettant une prédiction du début du travail à deux semaines, en cas de grossesse non pathologique.