le jeudi 24 février 2022
C’est la conclusion d’une méta-analyse portant sur 165 988 patientes prenant de l’acétate de cyprotérone, menée par des chercheurs de l’université de Bristol et publiée dans Nature – Scientific Reports le 4 février dernier. Un risque accru de méningiome a bien été trouvé pour l’utilisation de fortes doses (≥ 50 mg/jour) et trouvé, Parc rapport aux faibles doses (< 50 mg/jour).les chercheurs reconnaissent ne pas savoir si “l’acétate de cyprotérone en dessous d’un certain seuil peut être totalement sûr en terme de risque de méningiome”