le jeudi 17 mars 2022
Alors que le Parlement vient de voter la prolongation du délai de l’IVG de 12 à 14 semaines de grossesse, le bureau du Collège National des Gynécologues Obstétriciens Français (CNGOF) estime que l’allongement du délai n’est pas une réponse appropriée aux problèmes de prise en charge de l’IVG en France et que “cet allongement du délai, en l’état actuel de la prise en charge de l’IVG dans notre pays, ne résoudra que très partiellement les problèmes existants et ne constitue pas une amélioration de la prise en charge des femmes “ car “la principale raison du dépassement du délai légal de l’IVG en cours en France est la difficulté d’accès aux soins“. Il préconise que le gouvernement s’attache “à ce que les IVG soient faites le plus tôt possible, afin que leur réalisation soit plus simple et dans le respect du choix de la patiente “
En savoir plus : Communiqué de presse CNGOF du 25 février 2022