le jeudi 4 novembre 2021
Bien que leurs recettes aient diminué en 2020 par rapport à 2019 (-6% pour les gynécologues-obstétriciens et -4% pour les gynécologues médicaux) les gynécologues voient leurs revenus nets augmenter en 2020 (+4,1% pour les gynécologues médicaux et +1% pour les gynécologues-obstétriciens).
C’est une maigre consolation pour eux car parmi les 30 spécialités étudiées, le tiercé gagnant en matière de revenus reste occupé par la néphrologie (bénéfice de 163 825 euros), l’anesthésie-réanimation (163 519 euros) et l’ophtalmologie (143 314 euros). Les gynécologues-obstétriciens sont classés au 16ème rang (95 409 euros) et les gynécologues médicaux au 21ème rang (78 664 euros). Les médecins généralistes se positionnent entre les deux (89 597 euros).
En queue de peloton on trouve les endocrinologues (59 439 euros), les acupuncteurs (40 341 euros) et les homéopathes (35 570 euros).
Source : Statistiques nationales de l’UNASA (Union nationale des associations de gestion agréées)