le jeudi 10 février 2022
Dans un communiqué de presse mis en ligne le 28 janvier dernier, la Haute Autorité de Santé (HAS) “recommande de permettre aux infirmiers, pharmaciens et sages-femmes de prescrire et d’administrer les vaccins non vivants inscrits au calendrier vaccinal chez les personnes âgées de 16 ans et plus, sous réserve de la formation de ces professionnels et de la garantie d’une traçabilité des vaccins réalisés“.
Cette recommandation concerne les vaccins non vivants suivants : Diphtérie-Tétanos-Coqueluche-Poliomyélite ; Papillomavirus humains ; Pneumocoque ; Hépatite B ; Hépatite A ; Méningocoques A, C, W, Y ; Grippe. Sont exclus les vaccins contre le méningocoque B et la rage, dont les indications sont rares chez l’adulte. Par ailleurs cette extension ne concerne pas les personnes immunodéprimées, dont les schémas vaccinaux peuvent être spécifiques et complexes.